Les biens fait de l'activité physique aprés un Cancer
Tarif : Convention avec IMAPAC

L'impact de l'activité physique :
La pratique régulière d'une activité physique suffisamment intense au décours de plusieurs cancers (sein, côlon, prostate…) est associé à une réduction d'un risque de rechute et de décès avec un bénéfice homogène d'une série à l'autre et d'un cancer à un autre de
l'ordre de 50% de réduction
du risque de rechute du cancer traité.

Mécanismes d'action
de l'activité physique :

1 - Action sur les œstrogènes : L'activité physique met en évidence une diminution de l'œstradiol en cas de pratique sportive régulière suffisamment intense. Cette baisse limite la capacité de multiplication des cellules cancéreuses en particulier mammaire.

2 - Action sur l'insuline : Une surcharge pondérale ou une consommation alimentaire élevée en sucre d'absorption rapide diminue l'efficacité biologique de l'insuline, ce qui conduit le pancréas à accroitre sa quantité d'insuline présente dans le sang. L'insuline est un facteur de croissance des cellules cancéreuses du sein, du côlon et de la prostate. L'activité physique réduit la sécrétion d'insuline et abaisse l'insulino-résistance. Cette diminution réduit les capacités des multiplications et de croissance des cancers.

3 - Action sur les sécrétions issues des tissus graisseux :
Les adipocytes sécrètent des adipokines, la leptine, qui est mitogène, c'est-à-dire qu'elle favorise la mort des cellules cancéreuses, et l'adiponectine, qui est pro-apoptotique, c'est-à-dire qu'elle favorise la mort des cellules cancéreuse. L'activité physique accroit la sécrétion d'adiponectine et réduit la leptine ce qui réduit le risque de mourir par progression du cancer.

 

L'activité physique modifie les sécrétions d'insuline, d'œstrogènes et des adipokines, ce qui modifie la croissance tumorale par réduction des capacités de multiplication cancéreuse.